dimanche 28 août 2011
PSB TV Contest
samedi 27 août 2011
C'EST AUJOURD'HUI!!!

jeudi 25 août 2011
Driver

Le prochain film de Nicolas Winding Refn (Branson, Valhalla Rising) sort le 5 octobre prochain. Il est intitulé Drive avec Ryan Gosling dans le rôle titre. Un Ryan Gosling dont c'est le grand retour sur les écrans à la rentrée puisqu'il est à l'affiche de Crazy Stupid Love (14 septembre) et The Ides of March (26 octobre, dernière update).
mercredi 24 août 2011
Captain America
Je dois dire que devant ce film, j'ai pris mon pied comme rarement ces derniers temps. Je m'explique. Tout d'abord, les dernières adaptations Marvel avaient pris une allure de plat tout prêt à manger sur le pouce, histoire de dire, « Voilà, on a (re)fait Hulk, on a fait Iron Man, on a fait Thor, qu'est ce qu'il nous reste ? Ah ouais, Captain America ! Bon aller jvous torche un scénar en 3 secondes... voilà, c'est prêt ! » Bon, le scénario n'est pas extraordinaire, certes, mais ce qui fait du bien, c'est que le réalisateur a réussi à donner une vraie identité à Captain, et une histoire très détachée des Avengers . Là où dans les précédents, Nick Fury et le SHIELD étaient pratiquement cités à toutes les répliques, tout comme l'agent Coulson qui devenait un personnage répétitif ; ce Captain America, lui, reste très proche des codes qu'on connait déjà, notamment grâce à Spider-Man qui reste LA référence des films de super-héros de la décennie : le type qui a ses pouvoirs, mais qui passe une période un peu chaotique, ou lui même est ridicule, avec un costume préparatoire, puis finalement un événement lui donne envie de devenir meilleur et d'utiliser ses talents à une cause supérieure. On est là-dedans. Steve Rogers est un gamin de Brooklyn pas épais, qui se fait taper dessus sans arrêt, mais qui se relève toujours et encaisse les coups, il est doté d'une force intérieure très importante. Il veut s'engager dans l'armée pour défendre son pays, mais ne fait que regarder tous ses potes partir avant lui. Avec les filles c'est pas trop ça non plus. Jusqu'au jour où un scientifique entend une discussion et lui propose tout de même de l'inscrire dans un régiment. Au camp, il montre une intelligence qu'évidemment les autres soldats n'ont pas mais également une motivation et un sens du sacrifice exemplaires (scène de la grenade). C'est là qu'on lui propose de participer au programme du super-soldat, mis en place notamment par Howard Stark. L'expérience est une réussite, mais on offre au final à Steve Rogers un rôle plus symbolique qu'un rôle de terrain. Il va de ville en ville pour motiver les gens à participer à l'effort de guerre. Mais il en a très vite marre et décide de se lancer seul à l'assaut d'un camp nazi : hahahaaaaaaaa ! Bon voilà pour l'histoire, j'en ai déjà trop dit.
Moi, ce qui m'a plut, c'est que, contrairement aux dernières histoires, il y a vraiment des scènes maîtrisées, on prend le temps de raconter quelque chose, le héros a vraiment une identité et ce n'est pas brouillon, et les références aux Avengers, comme j'ai dit plus haut, ne sont pas récurrentes. Du moins, le scénario ne tourne pas autour de ça (voir Thor). Ce qui m'a fortement plu aussi, c'est l'ambiance. Certes l'affiche que mon camarade a trouvé... justement qu'il n'a pas trouvé ! L'affiche effectivement n'est pas terrible (ce orange est affreux merde) mais elle correspond tout à fait à l'ambiance kitsch du film, ainsi qu'à l'esprit années 40, vieux cinéma d'époque : Les méchants écoutent Wagner, ils ont un repaire dans la montagne, le colonel américain parle franchement et assez vulgairement comme dans tout film de guerre classique, la seule femme du régiment est une jolie poupée bien coiffée, les mots de passe font sourire (genre « comment est votre blanquette ? »), enfin voilà, il y a un nombre de clichés impressionnants mais c'est exactement ce à quoi je m'attendais. De plus, le film a vraiment une esthétique générale (costumes, décors) très importante. Crâne Rouge est extrêmement bien réussi, il semble tout droit sorti d'un comics. La musique d'Alan Silvestri renvoie facilement à celle de John Williams pour Superman (patriotisme américain oblige). Certains effets spéciaux laissent à désirer mais ajoutent du charme au film. Bizarrement, j'ai comparé ce film à un James Bond... Mais je crois qu'on en est pas loin. Franchement un bon point pour cet opus. Là où les réalisateurs ont cherché à moderniser leurs super-héros et à leur ajouter une touche importante de réalisme, Joe Jonston prend le pari de cantonner Captain America à un simple héros de BD, et ça, ça fait du bien. La scène d'après générique est aussi délicieuse, mais bon, je veux dire... C'est bien le moins que Marvel pouvait nous donner au final. Alors, à bientôt pour The Avengers!
jeudi 18 août 2011
Super 8 de J.J. Abrams
lundi 1 août 2011
L'été prochain...
Alors que dans un peu moins de 2 semaines, Marvel et DC sortent chacun leur super-héros de l'été, je vous propose de vous projeter dans un an, où les mêmes studios se livreront un énième duel sanguinaire, mais là, on passe à un autre niveau. En effet, Marvel nous offrira son reboot ultra attendu de l'Homme-araignée (titré « The Amazing Spider-man »), alors que DC sortira l'encore plus attendu « The Dark Knight Rises », dans lequel Bruce Wayne enfilera son costume de Batman une dernière fois. Et comme les 2 bande-annonces viennent de sortir officiellement sur le net, je vous propose un petit pitch rapide sur celles-ci.
The Amazing Spider-man abordera logiquement la naissance de l'Homme-araignée. Mais visiblement, le film reprendra vraiment ce qui fait la base du héros. Il abordera notamment le sujet des parents Parker, mais aussi le véritable premier amour de Peter : Gwen Stacy. Si Sam Raimi avait privilégié l'idylle avec MJ Watson, il semble qu'ici, on prenne vraiment le comics au sérieux. Le film propose aussi un méchant inédit au cinéma : le Lézard. Choix intéressant, qui verra Spidey affronter un ennemi lui-même affecté par un « animal ». Par contre, on est un peu avare chez Marvel, on réserve encore la surprise sur la tronche du méchant, ce qui est assez cool, sachant que cette bande-annonce est suffisamment parlante pour qu'on rajoute ça. On préfère aussi jouer dans le retro, notamment par rapport au passage où Parker court dans la ruelle sombre ; ce plan et la musique évoque légèrement le premier Spider-man, tout comme le reflet dans le miroir. Ce qui est assez normal, vu que le premier volet n'a que 10 ans, et le 3ème, 5 ans. C'est encore un peu frais pour que les gens oublient totalement. Malgré tout, la bande-annonce est réussie et joue clairement le pari du rajeunissement, notamment avec Andrew Garfield, qui donne au personnage de Peter Parker un côté jeune ado rebelle qui écoute sa zic dans son mp3, et qui fait du skate, en mode nolife quoi. Un aspect teenager que Tobey McGuire n'avait pas, jouant plus dans le naïf et le tête à claques. La dernière séquence a de quoi allécher aussi, nous proposant carrément une caméra subjective qui nous place aux premières loges pour partager les vertiges arachnéens de notre héros. Un avant-goût de la 3D sans doute. Ready to play God ?
Pour The Dark Knight Rises, c'est différent. Chez DC, on la joue plus mystérieux pour l'instant, mais on nous fait tout de même L'HONNEUR de nous montrer le grand méchant. Et Bruce qui fait des pompes. Cela prouve bien l'état d'esprit dans lequel se trouvent les studios ; pour rappel, le dernier Batman avait été un des films les plus rentables de l'Histoire, ovationné par la critique, public au rendez-vous, criant au génie de Heath Ledger, et j'en passe. Bref, Batman Begins n'avait jamais existé. Alors effectivement, l'attente et la pression se font encore plus lourde pour Christopher Nolan, pour diverses raisons, dont le casting qui n'a fait que s'allonger ces derniers mois : va-t-il une fois de plus, nous épater et faire oublier The Dark Knight ? Ou bien va-t-il revenir à quelque chose de plus proche d'une bande-dessinée ? Ou encore va-t-il lamentablement se casser la gueule ? La bande-annonce est effectivement très radine, car 2/3 sont réservés à des extraits des précédents opus, narrant l'ascension de Bruce « Batman » Wayne. Un homme, visiblement Jim Gordon, raconte des trucs à un autre mec. D'un coup, on voit Bane en flou, puis en visible ; pendant ce temps, on a Gotham en images de synthèse et en cendres qui se consume, la caméra effectue alors une contre-plongée extraordinaire jusqu'au symbole de Batman, le tout saupoudré d'une musique de Hans Zimmer. Finalement on voit Batman dans un état proche de l'Ohio, et Bane de dos qui va lui coller une raclée. C'est peu mais assez mystérieux pour vendre le produit à des mecs comme moi. L'idée du film, c'est que Gotham est au bord de la crise (comme d'hab), Batman s'est retiré mais on va aller le chercher pour qu'il règle le truc et que ça redevienne normal. Normalement Catwoman va l'aider. Bon, malgré tout, ce film reste l'évènement de l'été prochain, marquant « the epic conclusion » de la trilogie engendrée par Christopher Nolan, logiquement attendu donc. Des photos du combat Batman/Bane sont actuellement sur la toile, ne boudons donc pas notre plaisir. Batman has to come back !
Super 8

J.J Abrams ça vous dit un truc? Alias, Lost, Fringe, Cloverfield, Star Trek, et j'en passe...