1) Que en tant que bon grand frère, ça me fait plaisir d'emmener mon frère et ma soeur partager un moment ciné.
2) "Ta gueule nOOb, va voir le film avant de l'ouvrir!"
3)Damm! Ce film était cool!
Phrase fatidique mais salvatrice, puisque prenant ce postulat pour argent comptant, je vais voir le film sans m'attendre a un chef d'oeuvre, ce qui me permet d'être agréablement surpris par les trouvailles et les efforts mis en place par la mise en scène.
J'ai vraiment ressenti une maturité de la part de David Yates par rapport au deux derniers opus qu'il avait réalisé. Comme le passage à une autre dimensions, celui de l'âge adulte. Le film devient adulte, les thèmes deviennent plus adultes. Mais aussi la mise en scène de David Yates et les personnages. Et évidement les choix judicieux dans cette mise en scène et ce retournement d'ambiance, de passage à quelque chose de plus adulte donc, répondent parfaitement au retournement qu'avaient opéré J.K. Rowling lors de la sorti du septième livre en tranchant les ambiance par rapport au précédent livres.
Certains qualifieront le film de sombre, et de nombreux points de vue ils auront raison. Mais de mon côté j'ai vraiment envi de marteler le terme "mature". Car il s'inscrit dans une série, donc dans une évolution et dans ce processus évolutif, Les reliques de la Mort, à atteint le stade de maturité. Et jusqu'ici cet épisode est le plus réussi.
La psychologie des personnages est beaucoup plus poussé, avec beaucoup de passage muet, de jeu du regard. Un travail des décors sur les décors naturels, et enfin une photographie à la hauteur de l'enjeu. Pour moi ce qui montre aussi un changement de cap, ce sont ces combats de magie qui sonnent comme des fusillades. Finis les petit sort qui font de jolies éclairs colorés, maintenant les sorts font mal, et ça s'entend, parce que le bruit de coup de feu qui s'en résulte, réponds dans nos esprits et on sait qu'un son comme ça, c'est pas le camion du glacier. Idem lorsqu'on voit le restaurant dévasté par la "baguettiade"dans les premières scènes à Londres, comme si il avait été la scène d'un règlement de compte de gang dans Dowtown LA. Idem encore pour la maison des Lovegood littéralement prise dans un bombardement. Ou la poursuite dans les bois où les arbres éclatent sous le coups des sorts, à quelques centimètres de la tête des héros et où les sorts d'Hermione sont lâchés comme des obus de mortier.
Ce film comme le livre, ouvre une nouvelle dimensions dans le monde Harry Potter, où des choix difficiles doivent être pris, où le monde se transforme en univers dictatoriale fais de rafles et de dénonciations et où la fuite n'est même plus une option fiable et sûre.
En allant voir se film on se doute mal des surprises qu'il réserve. Il faut aller le voir avec un oeil vierge de ce qu'il s'est fait avant lui.
J'espère sincèrement que la deuxième partie gardera cette identité que je vient de décrire.
(ce qui me permet d'être agréablement "surpris" par les trouvailles )
RépondreSupprimeril manque un ptit mot :)
en tout cas, personnellement je suis une fervente admiratrice des films d'harry potter, j'ai vraiment hâte de me faire mon opinion sur ce dernier.
signé CAPTAIN'
exact! merci CAPTAIN
RépondreSupprimerKikou ary potère cé trou koul, merci gran frer de mavoir anmené lol.
RépondreSupprimerNon je plaisante, belle critique bro.
Hey Tim, sympa t'as critique. Moi aussi je n'attendais rien, mais alors rien, du film car j'ai été trop déçu des 5 et 6 réalisés par Yates. Je me suis donc laissé emporté dans le film (bien que connaissant le livre par coeur). En tout cas, c'est beau!
RépondreSupprimerMême si en tant que fan je suis bien triste de voir des ajouts de scènes inutiles et des scènes supprimées ou raccourcies, ce qui me choque le plus se sont les combats.
Où sont passées les couleurs spécifiques aux différents sorts (déjà absentes du 5 et 6)? Pourquoi les scènes d'actions sont-elles filmées en gros plan histoire qu'on ne voit rien de se qui se passe? J'espère que ce genre de plans sera minoritaire dans la grande séquence de bataille promise dans le 7.2.
Dimitri.