mercredi 28 avril 2010

MA MEGA CITATION DU MOMENT (et ma première provenant de ce film)


La citation en V.F. d'abord :

Allan Grant à un enfant : "Essaye de t'imaginer à l'ère Crétacée. Tu jettes ton premier coup d'oeil sur cette grosse dinde en débouchant dans une clairière. Elle avance comme un oiseau, en hochant de la tête. Et tu ne bouges plus, parce que tu te dis que peut-être son acuité visuelle est basée sur le mouvement, comme le tyrannosaure, et qu'il t'oubliera si tu ne bouges pas, mais non : pas le velociraptor. Tu le fixes dans les yeux. Et il te fixe aussi intensément. Et c'est alors que l'attaque survient. Elle ne vient pas de face, mais par les côtés, des deux autres 'raptors que tu n'avais pas encore vus. Parce que le Velociraptor n'est pas un chasseur solitaire, il utilise un schéma d'attaque coordonné et il est sorti en force, aujourd'hui. Il fend l'air et te lacère avec ça : une griffe rétractile de vingt centimètres, coupante comme un rasoir, sur le doigt du milieu. Il ne prend pas la peine de te mordre la jugulaire, comme le lion, oh non… Il t'entaille ici [geste sur la poitrine de l'enfant], ou ici [à l'aine]… Il t'ouvre peut-être le ventre et déverse tes intestins. Le pire, c'est que… tu es vivant lorsqu'il te dévore. Alors essaye de te montrer un peu respectueux"

La citation en V.O. maintenant :

"Try to imagine yourself in the Cretaceous Period. You get your first look at this "six foot turkey" as you enter a clearing. He moves like a bird, lightly, bobbing his head. And you keep still because you think that maybe his visual acuity is based on movement like T-Rex, he'll lose you if you don't move. But no, not Velociraptor. You stare at him, and he just stares right back. And that's when the attack comes. Not from the front, but from the side, from the other two 'raptors you didn't even know were there. Because Velociraptor's a pack hunter, you see, he uses coordinated attack patterns and he is out in force today. And he slashes at you with this- a six-inch retractable claw, like a razor, on the middle toe. He doesn't bother to bite your jugular like a lion, oh no... He slashes at you here, or here... Or maybe across the belly, spilling your intestines. The point is... you are alive when they start to eat you. So you know... try to show a little respect".

AKIRA



Dans ce blog, il me tenait particulièrement et secrètement à coeur d'écrire un texte sur ce que je considère LE chef d'oeuvre d'animation Japonaise, j'ai nommé, Akira. Ce film, car oui, à ce stade on peu réellement parler de film et non plus de simple dessin animé, ce film a radicalement changé ma vision de l'animation et ébranlé ma perception du cinéma d'animation. J'étais pourtant très jeune lorsque je l'ai vu pour la première fois, mais je ne saurais comment vous narrer l'émotion, les sensations que m'ont donné ce film. J'avoue avoir été assez dérangé, chamboulé au premier abord... mais ce n'était que les prémices de ce qui allait être pour moi comme la compréhension d'une nouvelle ère de l'animation, et du cinéma, n'hésitons pas à aller jusque là je le répète.

Pour nombre d'entre vous, ceux de ma tranche d'age en tout cas, Akira a changé radicalement la vision qu'on se faisait du dessin animé Japonais. Sorti dans les salles obscures nippones en 1988, et en 1991 en France, ce film apporta une dimension nouvelle à ce qu'on appelait par chez nous la "japoniaiserie". Véritable culte au Japon, ce film se détache des autres animés de par sa réalisation, époustouflante, encore aujourd'hui, ainsi que par son univers, si proche de la science fiction contemporaine.
Il est important de préciser ce qu'est Akira à l'origine. C'est une BD, un manga... et bien plus que ça une oeuvre magistrale et à ce jour à mon sens encore non détrônée de sa place de BD la plus riche et prenante, et ce pas seulement de la BD Jap', je parle de la BD mondiale. Ce chef d'oeuvre du grand Katsuhiro Otomo, est construite, dessinée, narrée de telle façon qu'on se croirait être entrain de lire un storyboard, la précision et la finesse des dessin en plus. De cette manière, Otomo nous entraine avec lui au cour des 6 énormes tomes de son oeuvre, et nous, de nous laisser entrainer avec douceur, naturellement, dévorant chaque page plus avidement que la précédente et moins que la prochaine. Car Akira peu décourager au premier abord de par sa simple taille... Un pavé énorme... Mais je vous assure, ouvrez vous, plongez vous et vous n'en sortirez qu'a regret.
Revenons au film qui nous intéresse ici. Biensur, toute la grandeur époustouflante et épique de la BD ne pouvait pas être totalement rendu dans un film de deux heures, mais force est d'avouer qu'Otomo a réussi ici un tour de force surprenant en adaptant son oeuvre si riche en un condensé assez représentatif de la splendeur de son origine.
Akira met en scène les difficultés d'une jeunesse dépravée par la violence urbaine et la drogue dans une mégalopole futuriste digne de l'excellent Blade Runner. Entre courses poursuites effrénées et combat psychiques titanesques, ce film d'animation crée surprise et polémique par l'innovation de ses idées et de ses moyens de les montrer.
L'histoire se déroule en 2019 à Neo-Tokyo, 30 ans après la troisième guerre mondiale, et met en scène un groupe de jeunes drogués adeptes de courses de motos et de bastons entre gangs dans une société qui ne les demande pas. Lors d'une de ces nuit de violence et de vitesse sous l'ivresse de la drogue, un de ces jeunes loubard, Tetsuo, percute un étrange enfant à la tête de petit vieux. A son réveil il se découvre une force psychique grandissante et dévastatrice qui lui dévore peu à peu âme et corps. Perdant tout contrôle de lui même, rongé par la douleur, et poussé par l'odeur du pouvoir suprême, Tetsuo va devenir un élément incontrôlable qui pourrait bien etre une nouvelle apocalypse à lui tout seul.
Je vais vous dire rapidement mes ressentis face à ce film. Lorsque je l'ai vu pour la première fois, il ya bien longtemps, je n'avais pas encore lu la BD et je n'était pas en age de comprendre toute la profondeur de l'oeuvre. Pourtant, j'en suis sortis avec ce gout paradoxale oscillant entre choc et admiration. Un choc peutetre parceque pour la première fois, toute cette violence, crue, déchirante, cruelle, était montrée au moyen de dessins, moyen réservé jusqu'à lors pour narrer le plus souvent des contes et autres fables... Mais là le dessin montre des corps déchirés, transpercés par les balles, découpés... et puis cette métamorphose de Tetsuo, dévoré par son propre pouvoir, son corps devenant un amalgame de chair sans forme....sensation étrange et gênante... mais savoureuse. Il règne dans ce film en effet...un climat d'inquiétante étrangeté dérangeante, en particulier lors de la scène culte du reve de Tetsuo. Et là, l'admiration. Admiration et envie prenante de revoir encore et encore ce film, magistralement conçut, monté, dessiné, construit, et desservi, cerise sur le gateau, par une bande originale absolument grandiose.
Voila, j'en termine là. Un film à voir, je pense. (Obligatoire selon moi, mais je ne voudrais pas vous brusquer).

mardi 27 avril 2010

Mon Top 10 2009 à moi aussi

Il est un peu tard c’est vrai, mais je vous propose à mon tour mon top 10 de 2009.

1. Inglourious Basterds de Quentin Tarantino
2. Millenium de Niels Arden Oplev
3. Morse de Tomas Alfredson
4. Watchmen de Zack Snyder
5. Slumdog Millionnaire de Danny Boyle
6. OSS 117, Rio ne répond plus… de Michel Hazanavicius
7. REC² de Jaume Balaguero et Paco Plaza
8. Jusqu’en enfer de Sam Raimi
9. Lucky Luke de James Huth
10. Mary et Max de Adam Elliot

Voilà, ce sont mes choix et coups de cœur. Libre à quiconque de proposer le sien ou de me contredire.


Ah oui, je devais aussi boucler un article sur la sortie d’Iron Man 2 (c‘est demain!!!); bon je vais m’y coller rapidos : une attente folle bien sûr, le premier volet était un peu réservé, histoire de bien placer les personnages et une ambiance, un style pour une possible trilogie, qu’on ne soit pas surpris que tout pète dans tous les sens dans le 2. Un choix judicieux, je pense: on se retient, on fait un film sympa et divertissant, et si ça marche, eh ben on passe la 5ème direct dans le 2!!! Il semble que ça soit chose faite : armée de robots, duo d’Iron Man pour le combat, super-méga classe de Robert Downey Jr., Samuel Lee Jackson en Nick Fury, Scarlett Johansson en Veuve Noire, Mickey Rourke en grand méchant, une bande-son d’AC/DC, … un film qui devrait déchirer grave quoi!

THE KILLER (John Woo)



Lors de la session 2010 du festival premier plan d'Angers, figurait au programme ce film de John Woo, son chef d'oeuvre, le film qui l'a fait connaitre et l'a définitivement ancré comme un réalisateur hors pair et visionnaire pour son temps. A l'idée de pouvoir voir enfin ce film, que je considère comme une des plus grande oeuvre du cinéma, sur grand écran, inutile de préciser que je jubilais et tremblais tout entier d'impatience.
L'heure venue, j'arrive dans la salle, m'installe, accroché à mon siège... ça y était!! J'allais voir ce film au cinéma, film que j'avais biensur au préalable vue au cour de ma vie plus de 40 fois (sans exagération).


Tellement aveuglé par mon enthousiasme, je n'avais pas pris assez de recul par rapport au film, et ce qui devait arriver arriva : une grande partie du public, moins préparé que moi à ce qu'ils allaient voir certainement, et puis peu soucieux de leur séance, car vivant lors de ce festival une véritable orgie de films en pagaille, ce public donc a ri parfois doucement parfois s'esclaffant à gorge déployé. Je n'est été en aucun cas surpris, mais j'avoue que ces rire que je comprend parfaitement, me sont resté un peu sur l'estomac... putain merde!! on était entrain de me gacher un moment unique : voir The Killer au ciné!!! C'est pourquoi j'ai décider de faire ici un article sur ce film qui m'a tant marqué, et que j'adule, histoire de me soulager quelque peu...

Bon ok, aujourd'hui, beaucoup de scènes passent pour des clichés pour beaucoup risible voir même choquant pour d'autres. Je le conçois. Mais j'aimerais avant qu'on prenne la peine de remettre The Killer dans son époque et son contexte. Que dire de ce chef d'oeuvre qui a bouleversé le cinéma si ce n'est qu'il y a véritablement eu un avant et un après The Killer? La raison de cette prise de position, la voila : John Woo est un putain d'artiste, quelqu'un qui, quand il a la possibilité d'un contrôle total sur son boulot est capable des plus grandes prouesses!! Il suffit de faire cet effort de retour en arrière et de voir la mise en scène de ce film pour l'époque. Je n'aime sincèrement pas décortiquer et analyser les films que j'aime, ce n'est ni mon but ni mon truc. Je voudrais vous faire partager juste un peu de mon enthousiasme... mais je doute que beaucoup est seulement eu le courage de me lire jusque là...héhé.
Non mais faites un simple mouvement de recul sur le cinéma actuel : il est clair que tous les gros blockbusters américains ont été ébranlés par l'inventivité novatrice et si particulière utilisé par John Woo pour son film.
Alors ok, une analyse poussé et que je pense juste mais à mon sens inutile (regardez le film c'est une tuerie, dans tous les sens du terme!!) pourra me faire dire que The Killer n'est pas qu'un film de Gunfights ultra violent... Que c'est une réflexion sur l'humanité qu'il y a dans chacun d'entre nous, sur la complicité qui peut unir deux homme pliant sous la violence et le meurtre, malgré leur différences... C'est aussi, et j'y vois ici quelque chose de... touchant (oui il m'arrive d'avoir des émotions) une histoire d'amour tragique, qui en réalité n'est pas sensé en être une... compliqué à comprendre? Bien... petit topo sur le scénar... Jeff est un tueur à gage qui n'éprouve ni pitié pour ses victime, ni remord, ni scrupule... On le paie, il tue. Mais un jour, lors d'un contrat comme les autres, il blesse Jenny, une chanteuse, qui n'avait aucun rapport avec l'assassinat de départ. Dès lors, toute la vie du tueur est bouleversée et derrière l'homme sans pitié, tueur froid et sanguinaire, on découvre un être attentionné, et éprouvant de très fort sentiments, et ce pas uniquement pour une chanteuse, mais pour toute personne innocente n'ayant aucun rapport avec ses contrats. C'est comme ça qu'une fillette sera également blessé lors d'une de ses mission et qu'on verra le tueur risqué sa liberté et sa vie pour la conduire dans un hôpital, endroit de sa première rencontre avec son pire ennemi et son meilleur allié, le flic, Danny Lee. On a d'ailleurs pour cette occasion droit à une courte scène mythique et typique du cinéma de Woo : les deux homme se braquent avec leurs flingues, face à face, un silence total, tous les sens en alerte... deux prédateurs prêts à la mise à mort... et là, petit ressort comique, ils se retrouvent sous les yeux des médecins entrain de soigner la fillette, et le tueur de dire : "continuez". Pour en revenir au premier accident, pivaut de tout le film, changement radical dans les sentiments du tueur, après avoir blessé gravement la chanteuse au yeux, celle ci perd progressivement la vue, devenant aveugle au fil du temps. Elle doit trouver les moyen de se faire greffer de nouvelles cornées. A partir de cet instant, Jeff, le tueur tuera et tuera encore pour réunir assez d'argent pour l'opération. Il devient alors la cible de ses employeurs qui n'acceptent guère ce genre de sentiment chez un tueur, et celle du flic, l'inspecteur Li. Le tueur a désormais peur pour sa vie, et dans cet ultime but, s'attaque à une organisation qui ne lui laissera aucune chance.
Ce film est représentatif au niveau psychologique du cinéma asiatique, avec une idylle impossible, et un paradoxe vivant, Jeff, le tueur, qui, en voulant redonner la vue à une femme, va retrouver des sentiment "humain" pour quelqu'un qui avait tout d'une bête. Et puis il y a ces deux homme que tout oppose, le flic et le tueur, deux homme au contraste saisissant... Tout semble les opposer, mais au fond, il se pourrait que pour une cause juste, et sous la pression du meurtre, du danger extrême et de la violence, ces deux hommes en viennent à éprouver les même sentiments et finissent par s'allier, chose au début impensable. Quoi qu'on fasse, quoi qu'on soit, on peut être proche. Message fort mine de rien non?

Bon alors je vais me lancer dans l'enthousiasme pur... ne vous inquiétez pas j'abrège... Ce film, d'une violence rare n'est pas qu'un film noir et sanguinaire, il est la consécration de John Woo comme magnifique et véritable chef d'orchestre de gunfights!! D'une tuerie sanglante et surréaliste, John Woo met en scène un véritable opéra macabre et explosif. Il organise et virevolte avec ses personnages au charisme sans pareil. Petit à petit, il joue avec ses pièces, crée une alliance impossible, dévoile un amour impossible, et entreprend une quête impossible... Le film vrombit, ronfle, vibre tout au long de l'histoire, le tout allant en s'amplifiant, jusqu'à l'explosion finale : deux hommes face à une armée entière... (300 peut aller se rhabiller Niiiarrk).
Alors ok c'est plein de scènes aujourd'hui devenues clichées... des ralentis sur les deux héros marchant vers leur destin, des arrêts sur image "gel d'écran", les colombes symboliques d'amour volant au dessus d'un paysage de mort... MAIS QU'EST CE QUE C'EST BON!!!
Et puis je le redis, faites un recul sur le cinéma actuel... tant de films d'action actuels qui se nourrissent de ce film là, tout en restant bien en deçà... Comment être plus explicite... des combat chorégraphiés au millimètres, des plans hyper prenant et intuitifs, un scénar qui, si on fait l'effort de s'identifier au personnages peut etre boulversant (sérieux!!), des persos charismatiques et attachant, des combats ultra violents et splendide... un film grandiose, tout simplement.
Bon je m'arrête la... alors si vous avez eu le courage de me lire jusque là, je vous en remercie... essayez de voir le film s'vous plait...merci.

jeudi 22 avril 2010

"Je suis colère"

Je vais essayer de pas trop faire de publication de "posters" sur le blog (parce que sinon il y aurait que ça, et que je le fais déjà pas mal sur FB), mais celui là m'a fait pisser de rire.
Et au moins ça me permet de communiquer le lien vers ce site génialhttp://verydemotivational.com/.
C'est un site qui se consacre donc, à la publication de ces "posters", dans le but avoué de faire rire. On y trouve aussi plein de liens vers d'autres sites du groupe Cheezeburger Network dontverydemotivational fait parti. Tous des sites liés au rire à travers l'image.
D'ailleurs, je vais en profiter pour afficher l'adresse dans nos sites favoris sur la droite de l'écran.




Ce qui est marrant avec ces "posters", c'est qu'on peut même les faire soit même avec ces propres photos. Il suffit d'avoir une image, une bonne idée et un slogan bien pêchu pour faire quelque chose de marrant. Et on peut poster le rendu sur le site verydemotivational.com, pour les soumettre aux votes des internautes (slogan en anglais, le site est internationale).
D'après ce que j'en vois sur la toile, c'est un truc assez populaire ces temps-ci, et je constate ça assez nettement au niveau de mes amis geeks. Une des récentes réminiscences de l'esprit geek ?

Allez faire un tour sur le blog, parcourez toutes les pages, il y a franchement des perles! Et tiens d'ailleurs si vous avez pas rit une seul fois, je veux bien... Vous payer un café! (Bon faut comprendre l'anglais).

mercredi 21 avril 2010

mes deux citations du moment


"We're gonna need a bigger boat".

"Smile, you son of a BITCH!!".


JAWS (Les Dents de la Mer)

Réplique de la semaine (1)



« Mr Anderson, welcome back… We missed you. -It ends tonight. »

"The Matrix Revolutions", 2003

dimanche 18 avril 2010

I can’t see you. But I can kick your ass


Cela fait un moment que la sortie du film KICK-ASS nous trottait dans la tête. Adapté d’un comics, le film raconte l’histoire de personnes sans pouvoir qui enfilent des collants vert, rouge, violet et noir pour faire régner l’ordre. Le personnage principal (Kick-Ass) est un jeune ado banal qui pour pouvoir d’être invisible… auprès des filles de son lycée. Un petit mélange entre BATMAN BEGINS, bon sans le côté ninja et fumée partout, et l’ambiance rockn’roll d’IRON MAN. Un mélange qui laisse donc de bons espoirs, de plus après avoir vu l’alléchante bande-annonce. Le film promet beaucoup d’humour et d’action, notamment grâce au couple Red-Mist (Christopher Mintz-Plasse) et Kick-Ass (Aaron Johnson), et plus de gun-fights et de violence avec Big-Daddy (Nicolas Cage) et SURTOUT la petite Hit-Girl (Chloé Moretz), qui, pour son côté sadique et qui est bourrée d’énergie, a une place particulière dans notre cœur.

Bref, le film suit la veine des précédents HANCOCK et WATCHMEN, qui abordait le super-héros d’un œil tout à fait différent, ce qui ne fut pas pour nous déplaire, espérons donc que ce film sera encore une excellente surprise, d’autant que tous les acteurs semblent vraiment bons dans leur rôle. On retrouvera avec plaisir (ou pas) Nicolas Cage dans un nouveau rôle de super-héros… Je vous laisse vous rappeler… Top c’est fini, on se retrouve donc tous dans les salles le 21 avril pour botter des culs à tout va!!!





samedi 17 avril 2010

Top 10 films de 2009

Allez au boulot. J'ouvre avec cet article, ce qui va être, je pense, le fond de commerce de ce blog, c'est à dire, des chroniques, avis, critiques cinémas. François, Florian et moi, on est des gros consomateurs de cinéma. Et globalement, on mange à tous les buffets qui nous sont proposés!
Pour ma part je dois avouer que l'année 2009 a été assez copieuse. Il y a eu plein de belles sorties et mon budget ciné les a senti passer.
C'est vrai qu'il est un peu tard pour publier un top 10 2009, mais ça me tient à coeur alors j'imagine que la date importe peu. Bien sûr les films que j'ai pris en compte sont seulement ceux de 2009; je n'ai pas retenu les sorties du premier trimestre 2010 (et Dieu sait qu'il y a du mega lourd depuis le début de l'année).

Donc, mon top 10:

1. Démineurs (The Hurt Locker) de Kathryn Bigelow.

2. Inglorious Basterds de Quentin Tarantino.

3. District 9 de Neill Blomkamp.

4. Watchmen, les Gardiens de Zack Snyder.

5. Gran Torino de Clint Eastwood.

6. Le Soliste de Joe Wright.

7. La Merditude des Choses de Felix van Groeningen.

8. OSS 117, Rio ne Répond plus de Michel Hazanavicius

9. Dans la Brume Électrique de Bertrand Tavernier.

10. Looking for Eric de Ken Loach.

Je pense que mes deux congénères ne tarderont pas à se plier au même exercice.
Je vous dis à bientôt.

Ps: J'écris cet article depuis la ville de Marrakech. Qui a dit que les geeks ne sortaient pas de chez eux?

mardi 6 avril 2010

Salutations Voyageurs

Et bienvenue sur geekiez.blogspot.com.
Laissez nous nous introduire nous même, nous sommes les Geekiez: Florian, le clown scintillant, François, l'ours angevin et Timothée, l'effroyable Burton-icide. Nous serons vos hôtes dans cet espace virtuel consacré aux manifestations de l'esprit GEEK.

Lisez-vous la Bible? Dans Ezekiel 25-7, Dieu parlant à travers la bouche du prophète décrit le geek ainsi: le geek est une personne passionnée, généralement par la science-fiction, la fantasy et la culture populaire.
Tous les trois nous nous revendiquons de cette culture, et nous voulions faire part de nos expérience de geek à travers un blog, aborder des thèmes tels que le cinéma, la musique, internet, la BD et la littérature SF/fantasy. Bien sûr l'éventail des sujets abordés est aussi large que nos passions sont diverses.
Evidemment notre volonté est de créer des ponts entre la culture geek et le "reste du monde". Nous ne cherchons pas à nous adresser seulement aux geeks; de nombreux blogs ou sites le font déjà, pourquoi un de plus?
Donner notre avis, nous montrer critiques, renseigner les gens sur la culture geek mais toujours faire rire, voilà, la vision que nous souhaitons partager, en notre modeste intérieur respectueux et noble, loin de l'oppression sommaire éradiquatrice qui détruit le monde stratosphérique et purulent de la société contemporaine. En cette phrase, somme toute écarté de légitimité, nous désirons vous dire "bonne visite", et dans un murmure, vous nous direz "merci".

Et n'oublie pas voyageur, "un grand pouvoir implique de grandes responsabilités".