jeudi 9 décembre 2010

mardi 7 décembre 2010

la réplique de la semaine


"Machete don't text!"

Machete dans Machete

Machete de Robert Rodrigez & Ethan Maniquis





L'éclate, le fun et l'adrénaline.

Trois termes plutôt cohérent concernant Machete quand on sort de la salle.
Le déferlement des images, de l'hémoglobine et des jolies filles, assemblés par une mise en scène musclé comble nos désirs machistes les plus enfouis (pour les hommes en tout cas). Nous avons convenu avec Khelf qu'il s'agissait d'un vision fantasmatique très geek, par le côté de la femme fantasmé objet du désir, ainsi qu'une perception et une restitution jouissivement fausse de la violence.

En allant chercher plus loin Rodriguez pose des vrais problèmes qu'il a le mérite de soulever dans une société comme celle des Etats-Unis. S'attaquer aux problèmes de l'imigration clandestine et du racisme/fascisme sans faire dans le film mélo-dramatique intello, mais en gardant le partie pris de la franche rigolade est une chose maligne pour que le message passe mieux et de façons plus marquante.

Des petits visuels sympa que j'ai trouvé en faisant mes recherches sur le film:




mardi 30 novembre 2010

LA réplique de la semaine


"N'essaie pas! Fais le... ou ne le fais pas! Il n'y a pas d'essai!"

"Try not. Do... or do not. There is no try."


Maitre Yoda dans l'Empire Contre-Attaque

dimanche 28 novembre 2010

Harry Potter 7 partie 1 de David Yates


Et oui je suis allé voir le Harry Potter. Et aux mauvaises langues qui ricanerai dans leurs barbes, je rétorquerai trois choses:

1) Que en tant que bon grand frère, ça me fait plaisir d'emmener mon frère et ma soeur partager un moment ciné.
2) "Ta gueule nOOb, va voir le film avant de l'ouvrir!"
3)Damm! Ce film était cool!


Que n'ai-je pas entendu, "tu verras le dernier HP il est pas top, il ne se passe rien"!
Phrase fatidique mais salvatrice, puisque prenant ce postulat pour argent comptant, je vais voir le film sans m'attendre a un chef d'oeuvre, ce qui me permet d'être agréablement surpris par les trouvailles et les efforts mis en place par la mise en scène.
J'ai vraiment ressenti une maturité de la part de David Yates par rapport au deux derniers opus qu'il avait réalisé. Comme le passage à une autre dimensions, celui de l'âge adulte. Le film devient adulte, les thèmes deviennent plus adultes. Mais aussi la mise en scène de David Yates et les personnages. Et évidement les choix judicieux dans cette mise en scène et ce retournement d'ambiance, de passage à quelque chose de plus adulte donc, répondent parfaitement au retournement qu'avaient opéré J.K. Rowling lors de la sorti du septième livre en tranchant les ambiance par rapport au précédent livres.


Certains qualifieront le film de sombre, et de nombreux points de vue ils auront raison. Mais de mon côté j'ai vraiment envi de marteler le terme "mature". Car il s'inscrit dans une série, donc dans une évolution et dans ce processus évolutif, Les reliques de la Mort, à atteint le stade de maturité. Et jusqu'ici cet épisode est le plus réussi.
La psychologie des personnages est beaucoup plus poussé, avec beaucoup de passage muet, de jeu du regard. Un travail des décors sur les décors naturels, et enfin une photographie à la hauteur de l'enjeu. Pour moi ce qui montre aussi un changement de cap, ce sont ces combats de magie qui sonnent comme des fusillades. Finis les petit sort qui font de jolies éclairs colorés, maintenant les sorts font mal, et ça s'entend, parce que le bruit de coup de feu qui s'en résulte, réponds dans nos esprits et on sait qu'un son comme ça, c'est pas le camion du glacier. Idem lorsqu'on voit le restaurant dévasté par la "baguettiade"dans les premières scènes à Londres, comme si il avait été la scène d'un règlement de compte de gang dans Dowtown LA. Idem encore pour la maison des Lovegood littéralement prise dans un bombardement. Ou la poursuite dans les bois où les arbres éclatent sous le coups des sorts, à quelques centimètres de la tête des héros et où les sorts d'Hermione sont lâchés comme des obus de mortier.

Ce film comme le livre, ouvre une nouvelle dimensions dans le monde Harry Potter, où des choix difficiles doivent être pris, où le monde se transforme en univers dictatoriale fais de rafles et de dénonciations et où la fuite n'est même plus une option fiable et sûre.
En allant voir se film on se doute mal des surprises qu'il réserve. Il faut aller le voir avec un oeil vierge de ce qu'il s'est fait avant lui.
J'espère sincèrement que la deuxième partie gardera cette identité que je vient de décrire.

lundi 22 novembre 2010

Oturèdjie (phonétiquement


Réjouissons nous, ce bon vieux Takeshi Kitano est de retour avec un film couillu, Outrage! Après ce que je me permettrait très subjectivement d'appeler un "passage à vide" avec la Trilogie de l'artiste (Takeshi's, Glory to the Film Maker et l'apothéose Achille et la Tortue couplé à l'exposition à la fondation Cartier).

Retour donc au film de yakusa avec des gros flingues, de la loyauté, de l'honneur, des doigts coupés et des gros tatouages. De quoi nous satisfaire, nous les MÂLES!

Otomo un yakusa old school, vois l'évolution de ses semblables et de son milieu et les tentatives de chacun pour arriver au sommet de la hierarchie.
Bon évidement ce sont les thèmes récurent des films de Kitano. Mais le simple fait de savoir qu'il y revient est en soit super jouissif.

Rendez-vous mercredi donc.


(alors par contre faut me promettre de le voir en VO! Ah non faut pas déconner là!)

jeudi 18 novembre 2010

La réplique de la semaine


L'Homme-mystère s'incruste dans la tanière de Double-face, et le complimente sur la décoration :

"J’adores ce que tu as tiré de cet endroit : heavy metal rencontre Maisons & Jardins. Magnifique ! C’est tellement noir et gothique ! C’est si dégoûtant et décadent ! Tout en étant plaisant et lumineux ... et très bourgeois. C’est tellement toi ! Et tellement toooiiii!"

Batman Forever, 1995

mardi 16 novembre 2010

Comment je flingue mon budget comics

Comment je flingue mon budget comics en ce moment et que ça va pas s'arranger dans les mois qui viennent.


Première étape : Siege
Vu comme ça, ça à pas l'air de faire de mal mais l'évènement Marvel de cet année commence tellement fort que ce que nous réserve Brian M. Bendis dans les mois à venir va révolutionner profondément l'univers Marvel.












Deuxième étape : Ultimate Avengers
Bon là on reste sur de la valeur sûr, mais plus de Ultimates tape à l'oeil cette fois, Nick Furry monte des Black Ops, il lui faut donc une équipe en conséquences. Après un premier chapitres intense (re)mettant en scène Crâne Rouge et le cube cosmique, ce mois ci et pour les six prochains, le chapitre deux, Crime et Châtiment,réserve deux trois surprises: le Punisher qui rejoint les Avengers, la découverte d'un Hulk Originel, WarMachine qui se prend une taulé par un "humain" et Ghost Rider comme méchant. En plus on nous promet que DareDevil rejoint l'aventure courant 2011. Tout ça va pas m'aider à décrocher.



Troisième étape : Marvel Hereos Extra 4
Un hors série génial, se déroulant dans une réalité parallèle où les mutants sont la races supérieur et dominent le monde.
Parker Robbins AKA Hood, mène la ligue des droits des Sapiens à travers une révolte sous l'égide du crime.
Un des meilleurs comics que j'ai lu ces derniers mois.









Quatrième étape : Spiderman HS 23
Pour ceux qui ne connaissent pas la saga du clone (comme moi), ceux qui n'ont pas compris la saga du clone ou ceux qui voudrait connaitre le scénario original ("director's cut") de la saga du clone. Marvel et Panini nous servent la saga de Ben Reilly et Kaine telle qu'elle à été mise en scène avant "retouche éditorial".
Je suis pas spécialement un grand fan de Spiderman mais là ça m'a fais bien plaisir.





Cinquième étape : Marvel Icons HS 19
Je crois que juste dire Deadpool vs The Punisher suffit comme description.















Sixième étape : Un nombre incalculable de bonnes sorties.

























Noir, un nouvel univers parallèle chez Marvel (comme si il y en avait pas assez), cette fois les héros se retrouve dans les années 3o façons polar.

Ultimate Thor, pas de visuel mais une promesse de sortie courant 2011.

Marvel Saga 8, Morbius, la légion des monstres et Franken-castel (le Punisher en Frankenstein, Wait...What?).




Je suis dans la merde...

lundi 15 novembre 2010

The other cops



Deux postulats : Adam McKay est fou. Will Ferrell est fou. Quand on met les deux sur un même film on obtient quoi?

Ben on obtient des ovnis. Liste exhaustives: Anchorman, the legend of Ron Burgundy (2005), Tallageda nights: the ballad of Ricky Bobby (2005), Step Brothers
(2008) et The Other Guys (2010). Tous des chefs d'oeuvres d'humour, de stupidité et de mise en scène (pour des films de leur genre, bien sûr). Jamais des comédies graveleuses, potaches et pipi-caca-prout, n'avaient été aussi bien mises à l'écrans.


En partant d'idées toutes plus absurdes les unes que les autres (Un présentateur télé vedettes dans la guerre des télé local à San Diego dans les années 70, des demi frères de 40 ans et deux flics ratés qui veulent se refaire une gloire), Adam Mckay et Will Ferrell (scénariste sur la plupart des films cités), donnent vie à des entités cinématographiques indescriptibles qu'on ne sait pas où classer entre le bons films et le nanard.

The Other Guys (Very bad Cops), nous plonge dans la routine policière de Allen et Terry, respectivement comptable/scribouillard et gachette folle, qui on bien du mal à se faire un nom derrière la carrure de super flic de Highsmith et Danson (S.L. Jackson et D. Johnson). Le jour où ces deux derniers doivent laissé leur place (scène hilarante), Allen et Terry tentent leur chance, non sans mal. Ces deux là sont aussi malchanceux que maladroit, mais ils ne manquent pas de volonté.

Tout ça s'enchaine dans un joyeux bazar, les gags pleuvent et les situations inexplicables n'en finissent plus. Mais ce qu'il y a de bien avec McKay, c'est qu'il y a toujours un message plus ou moins caché, un petit cadeau de départ, le cadeau dans le kinder. Adam McKay veut dire quelque chose et il se sert du rire pour ça (ça passe toujours mieux). Apparemment il a été touché par la crise financière de 2008 et il se sert de ce films pour en parler. Le fond de l'affaire sur laquelle Allen et Terry enquête étant fait de malversations financières, d'abus de pouvoir et d'abus de biens sociaux. D'ailleurs le générique de fin est très bon; graphiquement d'abord et ensuite parce qu'il nous rafraichie les idées sur la situation économique et financière du monde dans lequel on vit.

Gros bémol: La VF, j'ai cru que j'allais dévorer Khelf et me pendre ensuite (Tout le jeu de Will Ferrell est basé sur l'impro, ce qui totalement bouffer par le doublage).

mardi 9 novembre 2010

SAW 3D


Avis à tous les fans d'horreur, demain sort le dernier volet de la saga du tueur au puzzle, j'ai nommé Jigsaw! Une sortie faite dans les règles de l'art, à peu près à la même époque que les précédents opus. Des anciennes victimes du psychopathe sont de retour, les héritiers se font la guerre, plus de pièges que d'habitude dont un en pleine ville (que demander de mieux?) les promesses d'un scénario riche sont présentes, mais est-ce que la qualité sera au rendez vous... La "2ème trilogie" concernant les héritiers avait adopté un rythme de croisière sanguinolant efficace pour des amateurs ou même des fans de la saga, n'égalant évidemment pas avec la "1ère trilogie", celle de Jigsaw, qui avait monté crescendo les niveaux de violence et de sadisme pour ainsi atteindre un "interdit aux moins de 18ans", mais faisant aussi preuve de scénarios agréables. La mode est à la 3D alors on le sort en 3D... pourquoi pas... Je ne cracherai pas dessus cette fois, il me semble que pour la dernière goutte de sang de SAW, on peut sortir l'artillerie lourde, en espérant vraiment que le spectacle soit au rendez-vous! Et maintenant, faisons un jeu...


Bande annonce VF : http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19151010&cfilm=170148.html
Bande annonce VO : http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19151009&cfilm=170148.html

dimanche 7 novembre 2010

Due date



The Hangover (Very Bad Trip), ça vous dit un truc?
Ce petit film de Todd Phillips que très peu de monde a vu (1 964 700 entrées en France) et qui n'est pas un des plus gros succès de l'année 2009, vous voyez?

Et bien Todd Phillips donc, remet le couvert avec Due Date (Date Limite) qui sort ce mercredi (le 10 novembre donc).
Dans cette nouvelle comédie, Peter dois rejoindre sa femme qui accouche dans 5 jours. Sa rencontre avec Ethan va bousculer ses projets et le propulser dans un road trip improbable à travers les Etats-Unis.
On retrouve dans ce ici Zach Galifianakis, déjà à l'oeuvre dans The Hangover et Robert Downey Junior. La paire d'acteur qui fonctionne bien. Zach fais rire tout ce qui à un cerveau normalement constitué et Robert monte de plus en plus ces temps-ci dans les comédies populaire. Bon pari? Le duo Fonctionne-t-il? On saura ça la semaine prochaine.
En attendant, méfions nous de la redite par rapport à The Hangover. La tentation du copypasta, pour Tood Phillips, peut être forte, après un succès comme celui de son précédent film.
Légèrement sceptique par rapport à ce film donc, mais l'avenir nous diras si j'avais raison.

mardi 2 novembre 2010

L'évolution du geek


On a put se demander souvent d'où venez l'origine du terme et du concept "geek".

Eléments de réponse:





source : Flowtown

vendredi 15 octobre 2010

Trouvaille


Aujourd'hui j'ai changé mon chemin habituel pour retourner à mon appartement. J'avais quelque chose à voir. Il ne me reste que la longue rue Parcheminerie à traverser, quand je vois de grosses lettres jaunes sur du papier... Radar Geek au taquet : Watchmen? Il s'agissait bien d'une affiche cinéma de Watchmen. Ma morosité des 10 dernières minutes s'estompe en 3 secondes 14 centièmes. Je jubile, je sais la place qu'elle occupera. Finalement j'aime mon vendredi!

Dicton chinois du jour : Seul est le fou qui ne cherche pas à s'engouffrer dans une colline oubliée de son esprit.

Traduction : Ben dans la semaine, passez par une autre rue que d'habitude, on sait jamais.

dimanche 10 octobre 2010

Amnesia: the Dark Descent




L'influence de l'oeuvre de H.P. Lovecraft dans les jeux vidéos n'est pas une chose nouvelle, Alone in The Dark, Darkness Within: The dark Lineage et la trilogie Penumbra sont autant de titres, se déclinant autour du thème du mythe de Cthulhu.
Le studio Frictional, déjà responsable de la série des Penumbra, composé de cinq personnes, joue donc un petit peu sa survie sur ce titre. Inspiré du roman l'Affaire Charles Dexter Ward de Lovecraft, Amnesia the Dark Descent nous incarne dans le peau de Daniel, amnésique, qui c'est donné pour ultime mission, de tuer le baron Alexander von Brennenburg.

Enfonçant toujours plus son personnage dans sa propre folie mentale, à mesure qu'il s'enfonce dans les entrailles du chateau ou se déroule l'action; Frictional, livre un jeu très fidèle à l'univers lovecraftien, avec ces thèmes récurrents (maladie mentale, aliénation physique, destin compromis par des forces occultes...). Au vue des vidéos visionnées et des articles lu, le jeu à l'air tout simplement effrayant. Le Studio préconise d'y jouer dans le noir avec un casque...euh personnellement je pense que j'y jouerai normalement, faut pas déconner non plus!
A mom avis voir un petit studio si talentueux comme celui là ce serai bien triste, l'univers du jeu vidéo à encore besoin de survival horror de cette qualité

Amnesia: the dark descent est disponible sur son site, pour la somme d'environ 15€ sur tous les systèmes d'exploitation; les connaisseurs seront d'accord avec moi, c'est pas cher payé pour un jeu de cette qualité.

Pour ma part je vais vite allé le commander histoire d'avoir mon petit boost d'adrénaline quotidien.

mardi 5 octobre 2010

La réplique de la semaine


"T'as tout compris. Tu vois, si on se fie aux projets de Cocteau, je suis l'ennemi parce que je pense. Parce que j'aime lire. Parce que je suis pour la liberté d'expression et la liberté de choix ! Je suis le genre de mec qui aime aller dans un bon restau et qui se demande si il va prendre une côte de boeuf ou un pavé de rumsteack géant avec ses frites mayonnaise ! Je veux faire du cholestérol. Je veux bouffer du bacon, du beurre, des montagnes de fromage ! Je veux fumer un cigare de la taille de la tour Eiffel dans un coin non fumeurs ! Je veux courir tout nu dans les rues le corps barbouillé de ketchup en lisant Playboy ! Pourquoi ? Parce que j'en aurai eût envie tout d'un coup ouais mec ! J’ai vu l'avenir façon Cocteau, c'est une vierge de 47 ans dans un pyjama beige qui boit des milk shakes banane carotte en chantant une pub débile ! Vous vous pliez aux volontés de Cocteau là haut : Ce qu'il veut, quand il veut, comme il veut ! Votre autre choix, vous joindre à nous, et peut-être mourir de faim..."

Edgar Friendly dans Demolition Man

vendredi 1 octobre 2010

Hacked IRL



Un nouveau lien vers un autre site de Cheezburger network.
Hacked IRL publie des photos d'interventions sur la voie publique et sur la signalisation de tout les jours qu'on pourrait presque appeler du street art. Des interventions avec toujours beaucoup de références culturelles et geek bien sûr.
ça me fait évidement beaucoup rire, j'espère que ça vous fera rire aussi.
Le lien se trouve à droite de l'écran (comme d'hab').

Allez là!!!

jeudi 30 septembre 2010

Des Hommes et des dieux


Il existe comme ça, des films très sobres, simples, sans détail inutile, qui vous touche et vous laissent simplement spectateur sans savoir trop quoi en dire, mais où vous êtes prit à parti pendant 2 heures, étant relié à ce qui se passe. Voilà Des Hommes et des dieux. Beaucoup de lenteurs, assumées et voulues je pense, mais qui peuvent lasser. Simplement c'est le prix à payer quand on va voir ce film. Xavier Beauvois nous montre un groupe d'hommes, avec leurs idées, leur vie (ensemble et individuelle), reclus dans leur monastère en Algérie, où ils vivent au rythme des récoltes de leur potager et de l'aide qu'ils peuvent fournir au village voisin. La base de l'humanité. Leurs vies se retrouvent alors mise en péril lorsque arrive un groupe de terroristes dans la région; souhaitant se passer de la protection de l'armée, les moines vivent au jour le jour avec la crainte d'une attaque sur leur domaine. Certains d'entre eux étant d'ailleurs prêts à partir du pays. Mais la fraternité est là et c'est l'idée forte que défend le film (du moins pour moi); on doute, on a peur, mais on regarde ses camarades et on reste soudé, plus fort avec nos croyances, quoi qu'elles valent. Allez voir Des Hommes et des dieux, et ressourcez-vous!

Le super-héros (pas trop connu) du mois : Miss Hulk


Pour ce super-héros du mois, je voulais rendre hommage à la gente féminine, assez représentée dans les comics, certes souvent en second plan, mais conservant tout de même une place de choix auprès de tous ces mâles en collants, leur donnant parfois un peu de file à retordre. De plus, je n'ai pas choisi n'importe qui, Miss Hulk, personnage que je ne connais que depuis un petit moment, ignorant même qu'il eut été un jour pensé à un concept de copié-collé (un peu plus sexy) du géant vert.

L'avocate Jennifer Walters est la cousine de Bruce Banner, le scientifique irradié de rayons gamma se transformant en Hulk. Dans sa ville natale de Los Angeles, elle fut un jour blessée par balle, lors d'un règlement de compte perpétré par le caïd Nicholas Trask. Bruce, de passage en ville, lui donna son sang car il était compatible. Affectée par la transfusion, Jennifer devint Miss Hulk, sorte de version féminine de Hulk. Mais elle retrouva vite un équilibre mental et toute son intelligence.

Elle entama une carrière solo de super-héroïne, puis rejoignit les Vengeurs sur demande de la Guêpe, avant de brièvement remplacer La Chose chez les 4 Fantastiques. Elle rencontra Wyatt Wingfoot, un sportif sans pouvoir mais au physique impressionnant, et eut une liaison avec lui.

Lors d'une opération de sauvetage sur l'héliporteur du SHIELD, elle fut irradiée et se retrouva coincée sous sa forme de géante verte. Cela ne la gêna pas car elle préférait cette forme. Ce blocage se révéla par la suite être avant tout psychologique. Elle fit partie du groupe de super-héros à disparaître en s'opposant à Onslaught. Elle eut une aventure avec Luke Cage, ainsi que le Fléau, dont elle fut l'avocate, Elle travaille actuellement au cabinet de Goodman, Lieber, Kurtzberg & Holliway, qui a été temporairement détruit suite à l'attaque d'une de ses pires ennemies, Titania.


Au cours du crossover Civil War, elle fut l'avocate du jeune Speedball. Quand elle tourna sa veste et voulut rejoindre la résistance organisée par Captain America, Reed Richards, Doc Samson et Tony Stark décidèrent de supprimer ses pouvoirs. Elle les récupéra peu après.

Ultérieurement, Jennifer fut rayée du barreau et licenciée du cabinet pour s'en être pris physiquement à un client et avoir divulgué des informations couvertes par le secret professionnel, après que celui-ci lui eut fait croire volontairement qu'il avait assassiné une cinquantaine d'enfants dans d'atroces conditions. Il s'agissait bien entendu d'un coup monté pour la pousser dans ses derniers retranchements et provoquer son renvoi.

Elle parcourt depuis les routes des États-Unis en compagnie de Jazinda, une femelle skrull avec qui elle exerce la profession de chasseuse de primes et a eu une brève aventure (d'une nuit) avec Hercule à la suite d'un combat pour lequel ils ont dû faire équipe. Elle a par la suite mis sur pied une équipe de Super-héroïnes, les "Lady Liberators", composée de Sue Storm, Walkyrie, Thundra, Jazinda et elle-même dans le but de renverser une dictature tyrannique fictive, leghost.

Miss Hulk fait partie de ces personnages très récurrents dans les Spin-Off, comme beaucoup d'autres d'ailleurs. J'apprécie aussi l'idée de la femme musclée et forte mais qui réussi à être sexy quand même. D'ailleurs, ce genre de personnage n'est-il pas fait pour faire fantasmer les geeks? En tout cas, ce que je vois en cette super-héroïne est une sorte de pied-de-nez à tous ces tas de testostérone ambulants, néanmoins assez risible et à prendre au 45ème degré.

mercredi 29 septembre 2010

Notre jour viendra de Romain Gavras


Les amateurs de Buzz et de musique auront sûrement déjà entendu parlé du larron puisqu'il est le réalisateur des clips Stress de Justice et Born Free de M.I.A., clips controversés s'il en est, à cause de leur mise en scène assez cru d'une violence plus ou moins fantasque. Pour les autres, Romain Gavras est le co-fondateur avec Kim Chapiron de Kourtrajmé, et fils de l'autre Gavras (Costa-Gavras). Et donc Notre jour viendra est son premier long-métrage après une longue carrière de réalisateur de courts-métrages et de clips vidéos. Alors la question qui se pose est passage réussi ou non?
Avant même de voir le film, la première chose qu'on peut se demander est est-ce que Gavras ne fais pas là un film prétexte.
Traité la question du rejet et de la différence, c'est du vu, revu et digéré, même si c'est sous l'angle des roux. OK! c'est original. OK! c'est du jamais vu. Ok! les roux sont persécutés (et ça c'est une réalité). Mais un parti pris comme celui là il y a mieux à faire qu'un vieux film sur la tolérance et le respect niahniahniah, non?
Et ben figurez vous que c'est ce qu'a fait Romain Gavras. Ce saisissant du prétexte de la différence, il nous livre le récit d'une descente aux enfers de deux roux. Ou comment deux hommes fatigués de ce rejet et de cette discrimination millénaire, ce lance dans un road-trip infernal vers une Irlande idéalisée.
Tout le récit se présente comme un énorme bad trip nihiliste, ou les scènes s'enchaine en s'enfonçant de plus en plus dans la folie.
Servi par un visuel fort (Olivier Barthelemy à l'arrière du pick-up brandissant les feux de Bengale, ) et deux acteurs transcendés par leur noirceur. Laissant le spectateur tantôt perplexe devant des images mystérieuses à la limite du symbole ou de l'onirisme (la petite rouquine qui danse le ballet), tantôt mal à l'aise devant des passages d'une violence rare et toujours démesurée (tirs d'arbalète à tout va, Vincent Cassel au jacuzzi, immolation de jeunes britanniques). Gavras à donc choisi de poursuivre son exploration du thème de la violence exacerbé, qu'il avait entreprit avec ces court-métrages. Un changement d'univers pourrait être intéressant dans un prochain film.
Pour revenir à la question du début d'article; passage réussi du court au long?...Oui, sans aucuns doutes

dimanche 26 septembre 2010

Trouvailles



Trois comics Conan, abandonnés dans un école, à la mercie d'enfants pas propres. Je me suis empressé de les receuillir.
Deux numéros de Conan le Barbare, le numéro 36 et le numéro 38, publiés en 1992.
et un hors série Conan publié en 1994; tous les trois distribué en France par SEMIC à l'époque (maintenant c'est panini comics qui distribue en France). Trois bijoux, trois trésors.

samedi 25 septembre 2010

Nouvelle rubrique

Bonjour les amis.
Aujourd'hui samedi jours des sorties shoppings, promettant une cohue monstre dans vos centres villes, je me propose de vous aider en ciblant des boutiques qui sauront satisfaire vos envies et vos passions. Parce que oui nous aussi, mine de rien, on a souvent de gros achats à faire. Les geeks consomment, et consomment souvent beaucoup. Car mine de rien, les figurines et les goodies ne se téléchargent pas. Et de toutes façons le téléchargement illégale, c'est mal!
Finis les heures passer dans les ruelles encombrées avec votre maman (ou votre copine si vous avez de la chances) à chercher une devanture digne d'intérêt, Geekiez vous livre les meilleurs boutiques sur un plateau.

La rubrique se trouve sur le côté droit de la page, avec les blog, sites etc... ►►►►►►
J'ai appelé ça "shopping geek", c'est un peu basique, mais j'ai pas mieux; des idées?

vendredi 24 septembre 2010

Petit lexique Internet à l'intention de ses usagers.


Bonsoir chers amis usagers d'Internet (et les autres). Vous vous sentez perdus lorsque vous parcourez vos sites, blogs et forum préférés et q'un hurluberlu poste un joyeux "GG OP" ou encore "pwned nOOb" ("qu'est-ce qui raconte le dyslexique?"). Ne paniquez plus. Voici pour vous un petit lexi
que non-exhaustif des expressions phares de la toile.


1337:
leet, Anglicisme signifiant élite.

4chan.org : Dieu Tout-Puissant.

ASL : Age/Sex/Location, demande que l'on retrouve souvent sur les sites de chat en temps réelle, enjoignant à communiquer à son interlocuteur, son âge, son sexe et sa localisation géographique.

ASLP : Age/Sex/Location/Picture, idem plus une image.

blog : Weblog, petit journal internet sympa.

bump : bosse, sur un forum, signifie que quelqu'un vient de se faire taper.

Copypasta : Copy/Paste, copié/collé.

derp : voir herp.

EPIC : Dans des proportions énorme. Se dit pour le fail ou le win.

fail : perdu!

fap : pratique sexuelle solitaire.

FAQ : Frequently Asked Questions, Questions souvent posées. Sur un site internet, rubrique permettant à ses usagers de mieux comprendre le fonctionnement du-dit site. Plus communément appelé "la rubrique des boulets".

FOAD : Fuck Off And Die, Tires Toi Et Meurs (pas vraiment poli).

FTW : For The Win, Pour La Gagne. Incitation à donner le meilleur.

GG: Good Game, Bon Jeu. Lors de la sorti d'un bon mot, ou lors d'une belle phase de jeu.

grammar-nazi : usager pointilleux concernant l'orthographe et la grammaire.

GTFO: Get The Fuck Out: Allez-vous en (pas DU TOUT poli).

herp : voir derp.

IRL: In Real Life, Dans La Vie Réelle. Pas sur Internet quoi!

JFGI : Just Fucking Google It, Injonction visant à inciter l'interlocuteur à utiliser un moteur de recherche plutôt que de casser les pieds des autres utilisateurs avec ses questions de merde (toujours pas poli).

K ou KK : OK.

lag : Latence, Internet chiant. Ralentissement de la connection Internet, dû soit à un problème de serveur ou a un problème de connection entre le client et le serveur. Très énervant lorsque l'on joue en ligne. "Putain ça lag là!!!"

Leet, l33t : Orginalement "elite", adjectif pour un type balèze et qui se la pète.

LMAO : Laughing my ass off, Rire à s'en taper le cul par terre.

LOL : Laughing out Loud ou Laugh out Loud, Rire Fort Dehors.

lolcat: Chat qui fait rire fort dehors, mouvement Internet consistant à faire des images rigolotes avec des photos de chats.




















loldog: Chien qui fait rire fort dehors, idem avec des chiens.
















lulz: corruption du terme LOL.

Lurker: Anglicisme, personne fréquentant un forum sans participer à la discussion.

MMORPG, MMO : Massive Multi-player Online Role Playing Game, jeu de rôle en ligne massivement multijoueurs. Petit jeu sympa et pas cher sur Internet.

moar ! : more, mauvais anglais. Cri de désespoir du /b/tard qui en veut plus.

newbie, newb, nOOb ou newfag (sur 4chan) : Anglicisme, utilisateur inexpérimenté d'un système ou d'un jeu, ou personne chiante.

NSFW : Not Safe For Work, Pas Sain Sur Le Lieu De Travail, Avertissement sur un contenu pouvant heurter l’environnement professionnel de l'utilisateur.

ORLY? : Oh realy? , Ah Vraiment? Souvent accompagner d'une petite image rigolote.




















OMG, OMFG : Oh My God, Oh My Fucking God, Oh Mon Dieu.

OP: Original Poster, utilisateur ayant poster le premier message à l'origine de la discussion.

owned: désigne l'état d'une personne qui se retrouve dans une situation d'échec, de défaite ou de soumission.

POV : Point Of View, Point De Vue, aussi bien dans une conversation que dans certaines vidéos controversées.

pwned: mauvaise prononciation volontaire de owned

ROFL : Rolling On The Floor Laughing, Se Roule Sur Le Sol De Rire.

roxx : to rock, être balèze. "je roxx aisément du bulbe".

STFU : Shut The Fuck Up, Tais toi s'il te plait (VRAIMENT pas poli).

suxx : to suck, inverse de roxx

THX/THNX/TNX/TX : Thanks, merci.

TITS OR GTFO! : Appel au secours du /b/tard qui en veut à votre poitrine à tous prix. Voir rule 30.

TL;DR : Too long; didn't read, trop long; j'ai pas lu. Parce que les utilisateurs d'internet son quand même des grosses feignasses et que dès qu'un message/article/commentaire dépasse deux lignes, hé ben ça fait chier de le lire en entier, alors que quelqu'un c'est cassé le dèrche à l'écrire...ou à le copié/collé.

triforce : les n00b ne peuvent pas la faire.

troll : créature fantastique, quelqu'un qui poste des commentaires abusés juste pour emmerder les autres utilisateurs!

UTFSE : Use The Fucking Search Engine : Idem que JFGI.

win : gagné!

WTF : What The Fuck, Qu'est ce que la sodomie.

/b/: ça on a pas le droit d'en parler!





mardi 21 septembre 2010




Dolph Lundgren

J'entreprend de créer aujourd'hui une nouvelle rubrique, à savoir "Acteurs déchus". Parcequ’il y'a des acteurs qui nous ont marqué, qui ont eu leur instant de gloire puis sont passés et ont disparu, ou presque. Et parcequ’on ne les oublie pas.

J’inaugure donc cette rubrique avec mon coup de coeur depuis quelques mois déjà. Ce coup de coeur est d'ailleurs l'objet premier de la création de ce "Acteurs déchus".
Ce coup de coeur c'est Dolph Lundgren (Né Hans Lundgren).
Autant le dire tout de suite, je n'ai pas vu énormément de film de l'acteur, mais juste assez pour pouvoir me permettre de dire qu'il excellait dans les année 80-90 dans des rôles minables de série-B ou de Rambolike pourris. On le trouve à l'affiche des maîtres de l'univers (adaptation de Musclor au cinéma), Dans les griffes du dragon rouge avec Brandon Lee (quand même!), Punisher, Scorpion rouge ou encore Dark Angel (I Come In Peace) dont vous trouverez une réplique dans les "citations cultes". Dark Angel m'avait quand même marqué étant gosse, en voyant des extraterrestres de 2m50 aux yeux blancs se balancer des CD à la gueule (!!!). N'oublions pas le role d'ancien sergent aux coté de VanDamme dans Universal Soldier, un rôle qui marquait les prémices d'un futur personnage dans lequel il allait exceller à l'avenir et dont je vais parler.

C'est comme si il n'avait jamais trouvé la chance de montrer son talent, ou du moins de l'exploiter à nouveau. A nouveau oui. Parceque l'acteur, champion d'Europe de Karate Kyokushinkai, est rentré réellement dans le cinéma en 1985 dans le role qui donna à Lundgren son image, à tel point qu'il est l'image type de l'acteur qu'on appelle pas par son vrai patronyme mais par le nom de son personnage, à tel point que son image fictive est devenue plus importante et réelle que l'acteur vivant. J'ai nommé, Ivan Drago.
Grace à Sylvester Stallone qui lui offre sa chance dans Rocky IV pour incarner l'indestructible boxeur Némésis russe Ivan Drago, Dolph Lundgren explose littéralement à l'écran, devenant à lui tout seul l'icone "du mal" de la série Rocky, L'icone Badguy, symbole de froideur et de mort. Et ces deux mots, Dolph les traduit à merveille. Il est la destruction en personne, l'annihilation incarnée. Froid, sans pitié, sans sentiment, sans émotion. C'est une machine de guerre, un engin de mort contenu par son gouvernement et lâché comme un chien enragé, ravageant tout sur son passage.
Contenu. Emprisonné. Une bête enchaînée. On doute dans le film du libre arbitre de Drago, de sa propre capacité à penser. Et ça, les acquéreurs des éditions récentes VHS puis DVD ne peuvent que s'en douter de par l'attitude du monstre russe, mais il y'a un peu d'humain en Drago. Dans la première édition de la VHS qui se vendait encore au début des années 90, on a le droit à un sous titre quand au milieu du combat contre Rocky, Drago attrape son manageur par le cou et le soulève du sol après que ce dernier l'ai frappé en lui criant "Gagne!" (en russe). A ce moment Drago tenant fermement l'homme à bout de bras crache des mots en russe, dont la traduction n'est présente que dans ces premières éditions de la VHS (que j'ai) : "Je ne me bat pas pour vous, je ne me bat pas pour mon gouvernement, je me bat pour la victoire, je me bat POUR MOI".
Drago s'exprime, Drago pense (donc Drago est ;) ).
Parce que ce role, Dolph Lundgren ne fait pas que l'appliquer, il le vit réellement, son regard, ses dodelinements de la tête, son air faussement perdu et intimidé dissimulant une puissance colossale... ("ce que son poing rencontre est détruit")... et cette froideur... cette froideur sans fond vide comme la mort est si bien interprété par l'acteur qu'on a beaucoup de mal à le voir avec le sourire dans des photos de prod' ou autre... Dolph Lundgren aura décidément bien du mal à se faire une place et à exister écrasé qu'il est sous Ivan Drago.
On y croit, on le craint, il est invincible, c'est une montagne imperturbable et indestructible. Et c'est cette perfection dans le rôle qui fait qu'on hait Drago, on le craint terriblement, tout derrière un écran qu'il soit, mais on le hait, un plaisir dissimulé et insinué d'étrange fascination de la mort que nous offre ici Dolph par sa prestation.
Ce mur, cette façade sans voix qu'est Drago et derrière laquelle se terre l'inconnaissable, l'insondable, l'inconnu, encore une symbolique forte de la mort incarnée par le suédois Dolph.
Et c'est tout ce jeu qui ne rend que plus jouissif le combat final quand Rocky commence juste à lui démonter la gueule. ("Il est touché!! Le russe est touché!! Et méchamment même!! C'est au tour de Rocky Balboa de revenir sur Drago!!").
Un hommage à un acteur sur un seul film? Et oui, c'est le cas, parceque ce rôle est réellement interpréter divinement par un acteur à ses début qui semble expier tout son coté sombre dans le film en devenant l'espace de 1h30 la dévastation en personne. La grande Faucheuse avec des gants de boxe.
En un seul film? Pas tout à fait.
En fait, Ivan Dra... Euh, Dolph Lundgren pardon, après avoir enchaîne les rôles sans importance a, que très récemment eu le droit à une seconde chance. Et encore une fois, c'est Stallone qui lui offrit. (Merci Sly).
Je veux parler de Expendables unité spéciale.
Ce film dont je fait une critique en deux temps sur ce meme blog semble au premier abord, et c'est en fait réellement le cas, particulièrement dédié au duo Stallone-Statham, laissant hélas de coté le reste du casting pourtant tellement alléchant... Mais 1h50 c'est court pour développer 8 personnages... (Jet Li... snif..).
Alors? Stallone-Statham? Moi je dis non. Il n'y'en a qu'un qui retient réellement l'attention, qui marque réellement de par sa prestation, qui ressort du lot par son développement psychologique. Ce type, c'est Gunnar Jensen, interprété bien-sur par Dolph Lundgren. Il excel cette fois ci dans un rôle de type psychotique timbré incontrôlable et imprévisible aux petits yeux pétillants de cruauté. Gunnar devient le seul personnage réellement profond du film, loin de l'idylle de Statham ou du coté protecteur vengeur de Stallone, Dolph est un fou, on ne peut le maitriser, il devient un danger, imprévisible et inquiétant.. On retrouve le personnage qu'il jouait dans Universal Soldier, en plus poussé et plus convaincant. Tordu et torturé, Gunnar Jensen est un fou dangereux... mais pas que.. (voir fin..).

Voilà pour mon coup de coeur de ces derniers mois, un acteur qui m'avait marqué à vie en un seul rôle et qui peutetre tient en main actuellement sa renaissance.

"Drago, c'est un regard sur le futur."

lundi 20 septembre 2010

La réplique de la semaine.



AVATAR

Jake Sully, alias Toruk Makto :


"Ceux qui viennent du ciel nous ont envoyé un message. Ils disent qu'ils peuvent prendre tout ce qu'ils convoitent, et que personne ne peut les en empêcher. Nous leur renverrons un message. Chevauchez aussi vite que le vent peut vous porter! Vous direz aux autres clans de nous rejoindre. Vous leur direz que Toruk Makto compte sur eux! Volez, maintenant, avec moi ! Mes frères! Mes sœurs! Et nous montrerons à ceux qui viennent du ciel qu'ils ne peuvent pas prendre tout ce qu'ils convoitent, et que ce monde est notre terre à nous!"