samedi 31 juillet 2010

crainte

En passant sur Allociné, je lis que Guillermo del Toro s'apprête à adapter les montagnes hallucinés de HP Lovecraft au cinéma.
J'ai énormément de craintes concernant ce projet sachant que la littérature de Lovecraft n'est pas vraiment "cinématographique". Tout cette univers de noirceur et de sous-entendus mystérieux, de cauchemars et d'hallucinations n'est à mon avis pas fait pour la caméra (à part certaines nouvelles).
L'autre truc qui cloche pour moi, c'est les 130 millions de budget allouer au film par James 'Avatar' Cameron, qui me paraissent un peu excessif, "éthiquement" parlant. Sachant que les romans et nouvelles de Lovecraft sont à mon sens des choses pleines de modestie et marquées du seaux de la simplicité.
Voilà rien de très objectif dans cette note, juste que j'ai peur pour ce projet ou peut-être peur de ce projet, comme le voudrait HP Lovecraft.

jeudi 22 juillet 2010

The last airbender


Bon donc une autre grosse sortie de l'été. On a le droit à pas mal d'adaptation ces temps ci je trouve.

Cette fois ci M. Night Shyamalan s'attaque à l'un de mes dessin animé favoris, c'est dire si ce film je l'attend comme je l'appréhende.

On a donc quatre nation élémentales (eau, terre, feu, air) qui se font la guerre. La nation du feu à vaincus les trois autres et la délivrance viendra de l'Avatar des quatre éléments, selon la prophétie qui va bien. L'Elu est donc Ang, un garçon de 10 ans de la nation de l'air, découvert dans un bloc de glace à des milliers de kilomètres de chez lui par Katara et Soka, deux enfants de la nation de l'eau.
il va devoir apprendre à maitriser les 4 éléments pour vaincre la nation du feu et libéré les peuples opprimés. Bien sûr la nation du feu ne va pas se laisser faire et envoi le prince Zuko à la poursuite de l'Avatar.

Bon lu comme ça le pitch à l'air plutôt simple, voir simplet; mais l'intérêt du dessin animé reposait sur toutes les aventures annexes de Ang et ces compagnons, dans sa quêtes des autres éléments. J'ai peur que toutes ces aventures passent à la trappe en passant à un autre support.
Aux vues des bandes-annonces je redoutes que l'action se recentre sur la rivalité Ang/Zuko, qui bien qu'elle soit présente dans le dessin-animé, n'est pas un aspect majeur de la série. Cette crainte est renforcée par le fait que Zuko est interprété par Dev Patel vu récement dans Slumdog Billionaire, et que le statut de l'acteur ne renforce le statut du personnage sans raison.
Autre crainte, l me semble au vue du support film et du réalisateur, que l'humour de la série ne se retrouve absolument pas dans le film. Et toujours à propos du réalisateur, Shyamalan nous a habitué à autres choses que les adaptation de dessin animé pour enfants, qu'en penser?

Un tour par la salle obscure me semble envisageable malgré tout, en prenant le risques d'être déçu.

Inception de Christopher Nolan




"Timothée tu rêves encore!"

ça c'est une des phrases que je pouvais entendre fréquemment à l'école quand j'étais plus jeune. Eh ben si seulement j'avais put rêver comme dans Inception à cette époque, je crois que je n'en serais jamais ressortie de ces rêves!

Tu rentres dans la salle, tu t'assoies, le film commence et BIM! Tu prends ta claque, tu te fais balader et tu en redemandes!

je peux pas me permettre de raconter ou analyser le film. Je risquerais de spoiler à chaque phrases, mais ce que je peux dire c'est que Nolan est un grand, un très grand qui excelle autant derrière la camera que au dessus de sa feuille de papier. Le film aurait put être tellement mauvais si quelqu'un d'autre l'avais écrit.

Inception est plus q'un film, c'est une expérience. C'est un exercice mental, un travail qu'il faut faire. On ne va pas voir Inception, on va le vivre!


j'attend vos réactions concernant le film (on évite les spoilers par contre svp)


ps: J'aime bien Ellen Page ^^

HAHA



"Je veux je veux" ^^



enfin bon il coutait quand même 89€ le bougre

Ouais t'as vu?

Au départ, je me suis dis très clairement en voyant les bandes annonces : « tiens, encore une bouse de Michaël Youn! » Normal quoi… Enfin je suis un peu méchant parce qu’après toutes les bonnes critiques que j’avais pu voir (« Fatalement drôle! (AHAH), etc.), je me suis lentement remis en question, je me suis soudain rappelé que j’avais rigolé devant La Beuze, Les 11 Commandements, j’avais réussi à trouver des bons points dans Iznogoud, (je passerai Incontrôlable), Héros m’avait convaincu, et bon, j’avais aimé Lucky Luke. Donc tout était OK pour que je sache apprécier Fatal et que je puisse rigoler à gorge déployée. Avec quelques craintes, Michaël Youn ça fait toujours un peu peur… Et bien je dois avouer que c’était l’éclate totale! Les 5 premières minutes furent le Nirvana. Je pleurais de rire, j’en pouvais plus. Ce qu’il a réussit à faire est le paroxysme de la parodie du monde de la musique actuel; il n’y a qu’à regarder la scène des Music awards de la musique, lors de la présentation des nommés (toutes les « ethnies » de la musique sont représentées). La plupart du temps, je me retrouvais devant l’équivalent français de Tonnerre sous les Tropiques. De plus, il nous offre, au même titre que son grand frère américain, une foule de références que je n’ai pas fini de décrypter. Peut-être quelques gags lourds et trash qui sont la marque de fabrique de Michaël Youn : à poil sur une scène, du vomi doucement suivi par une caméra, la fréquence sombre qui fait chier… Mais ça passe très bien dans le film. Il y a une petite moralité (simpliste mais qui est le fil conducteur du scénario) qui me touche : toujours se rappeler d’où l’on vient. C’est-ce que fait Fatal en retournant dans son village de Savoie où il est plus connu sous le nom de Robert Lafondue. Un film totalement décomplexé, assez simple mais assumé et réussi pour une première réalisation. Chapeau!

Mot de la fin : j’ai appris à me rappeler que c’est-ce mec qui nous a fait rire étant ado, et il représente pour moi la génération qui a grandi avec les comédies américaines comme American Pie ou les Jackass, c’est peut-être pour ça qu’il a du mal à trouver un peu de respectabilité dans le cinéma français, là où ses équivalents outre-atlantiques sont des Dieux.

Les 5 premières minutes du film : http://www.youtube.com/watch?v=STLOGxdzzg0&feature=related

Bienvenue chez les Geeks!

Au début du mois se déroulaient simultanément la Japan Expo et le Comic Con français au Parc des Expositions de Paris. Et j’ai eu le plaisir de m’y retrouver pour la première fois. Pour commencer, je trouve ça très bien que les deux évènements soient réunis, comme ça il y en a pour tout le monde, comme pour moi, qui niveau manga est complètement largué (bon à part Yu-gi-oh, Pokemon et Card Captor Sakura que je maîtrise). En plus, il y avait du beau monde quoi, comme par exemple l’équipe d’Hero Corp avec Simon Astier pour des dédicaces et des conférences! C’est chouette pour un dépucelage! Bon, un inconvénient, mais c’est comme partout, faut se pointer hyper tôt, comme le disait le slogan des points dédicaces : « 1er arrivé, 1er servi ». Donc quand c’est la première et que t’arrive à côté d’une queue de 15000 personnes, qui n’est en faite qu’une des 5 queues différentes pour les dédicaces, ben tu sais pas ce qui t’arrive!
Autre petit reproche, je n’ai pas trouvé qu’il y avait beaucoup des stands consacrés à la culture japonaise en elle-même, du moins, ils étaient très (trop) modestes; je sais pas moi, ça aurait cool d’apprendre à faire de la bouffe japonaise, eh ben non, à côté de ça, des tas de stands d’achat où à chacune t’as le même yoshi à la même taille au même prix. Bref, pour moi, un temple de la consommation où le but, c’est de se ruiner (il n’y a qu’à voir la queue pour le SEUL distributeur de la Japan); en fait, c’est tout à fait ça la Japan Expo : on est des petits japonais qui n’ont que pour seul programmation CONSOMMER. Mais bon, c’est fait pour ça, je ne jette pas totalement la pierre, car il y a aussi des tas de stands de jeux videos, d’expositions (une expo sympa avec des vieilles couvertures de comics), le Cosplay…



Enfin moi j’étais aux anges, malgré une certaine oppression qui se fait ressentir au bout de 2 jours. Quelque chose que je vais mettre en pratique en bon japonais que je suis : économiser pour l’année prochaine! Car ça donne vraiment envie et il y a de quoi gâter des proches et des Geeks proches. Car OUI, j’y retournerai, et OUI j’en profiterai plus et mieux, car la première fois sert d’adaptation, après, on sait comment faire! Et j’espère que le Comic Con va grandir encore un peu plus, pour que ce rendez-vous de Geeks soit parfait!

dimanche 18 juillet 2010

I love when a plan comes together!


Qu'est-ce qu'on s'attend à voir quand on va voir une adaptation?
Je pense qu'on cherche a retrouver l'ambiance de l'original, retrouver des personnages, leur donner un nouveau visage ou peu-être même un visage tout court; mais aussi trouver un nouvel univers visuel.
Du point de vue de bon nombre de ces critères, L'Agence tout risques fonctionne très bien. Une adaptation donc plutôt réussi et c'était pas arrivé depuis un moment cette année. Entre Hatchi adaptation d'un conte japonais avec Richard Gere, Twilight 3 (sans commentaires!), Prince of Persia ou Robin des Bois, on était pas à la fête!
Mais heureusement, L'Agence tout risques est là quand il n'y a plus aucun recours. Ce film vient le rôle de la grosse production américaine inteligente et drôle de l'été. Et quand on se retourne vers une grosse production inteligente on est rarement déçu. Inteligente, je dirais même maligne. Maligne, à l'image d'Hannibal Smith et de ses plans sans accrocs. Soulevant des thèmes tel que la loyauté, l'honneur, la trahison, la rédemption et la vengeance.
Adapté l'Agence tout risques au cinéma n'est pas aisé, surtout si il avait fallu garder l'ambiance originale de la série. Pas vraiment glamour et testostérone pour notre époque. En revanche les quatres personnages principaux, Hannibal, Futé, Barracuda et Looping sont tous superbes et le plaisirs de les retrouver est délicieux.
Ce qui est plutôt appréciable, c'est d'avoir put développer un nouvel univers, de s'être départi du cadre temporelle des années 80 pour se replacer dans une période contemporaine. Pari risqué, certains d'y sont cassé les dents (Miami vice de Michael Mann), d'autres auraient du essayer (Starsky et Hutch de Todd Phillips). Mais ici ce parti pris rend une nouvelle jeunesse à la série. En revanche le côté "L'Agence tout risques begins" aurait put être évité, mais on aurait rater une présentation sympa des personnages et une intro de haut vol (c'est le cas de le dire)
Donc on se réconcilie avec les adaptations de série télé et même j'attend la prochaine. Pourquoi pas Magnum?

mercredi 14 juillet 2010



PREDATORS

J'attendais ce film avec la plus grande impatience. Je ne sais ce que j'attendais vraiment, partagé entre peur qu'il entache l'image du mythique chef d'oeuvre de McTiernan, ou bien crainte éventuelle mais peu envisageable qu'il le détrône. En fait, je crois que j'aurais préféré qu'il ne fut jamais réalisé... Mais si. Et je l'ai vu.
Hyper impatient, je ne tenais plus en place depuis bien des semaines déjà, et ce allant en s'empirant, il était temps que je vois le résultat de mon attente. Premier jour de sortie, 14 juillet, première séance, 14 heures... J'arrive deuxième dans la salle. Je prend une place de choix, bien décider à profiter et soulagé mon attente. Dans l'oisiveté, j'entreprend d'observer avec amusement les personnes entrant après moi. D'abord un couple d'ados Got' qui devaient s'être trompé de salle avec celle d'à coté, passant Twilight 3... Puis un couple de quinquagénaires, absolument improbable pour cette séance mais que j'enviait tout à coup, imaginant les fans de la première heure, ayant vu à l'époque le premier Predator en 1987 en salle... Puis une mère et son fils qui devait avoir en dessous de 12 ans mais pour qui on avait dut trafiquer la carte d'identité pour qu'il puisse passer, ce que je trouve louable, car il est bon de voir ce genre de films tôt, c'est là que ça marque... Bref, bien d'autre sont passés, dont la famille qui pris décision de se placer derrière moi en bouffant du pop corn, j'envisageais déjà de les éviscérer vivant avant le début du film.
Bon, en fait la je tourne autour du pot quoi, je ne parle pas du film... En fait je vais etre direct, j'ai trop honte d'en parler.
J'avais prévenu dans ma préview, Rodriguez et Antal s'attaquaient là à une pierre angulaire de mon enfance, un mythe, une légende, un chef d'oeuvre tourné de main de maitre par McTiernan... Inutile de préciser que dans ma fanitude totale, je risquais d'être presque quasi blessé, du moins écoeuré.
J'avais prévenu, avec ce film, pas de demie mesure, soit noir, soit blanc...
Objectivement, d'un regard neutre, on ne peu cracher sur une certaine esthétique dans le film. Une volonté certaine de créer une ambiance, de faire monter un semblant de tension... Bref, d'essayer de faire penser au premier tout en innovant, et de retrouver la tension et l'atmosphère du model inégalable. Mais ce ne sont que de bonnes intentions, et ça s'arrête là. Pour être franc, je doute même des "bonnes" intentions...
Rodriguez et Antal se disent tout deux fan de la première heure de Predator, seulement, il est un point qui est intriguant par rapport à ce degrés d'attrait et cette volonté de lui faire "hommage", le film est plein de références et de clins d'oeil au premier, mais tout passe toujours à coté de ce qu'était l'essence du chef d'oeuvre de McTiernan, on se demande comment ont vécu réellement Predator ces deux pseudo-fans... A aucun moment, on ne retrouve ne serait ce qu'un semblant de similitude dans l'ambiance, dans l'atmosphère entre ce nouveau Predators et son ainé, Predator. Tout sonne faux, et ce film est un énorme coup dans l'eau. Et chaque pauvre clin d'oeil est un minable copier coller de ce qu'on a dans le premier, sans essayer de l'adapter, en en faisant trop ou pas assez. Par exemple, la musique. Pour rappeler les deux premiers film, la musique d'Alan Silvestri est reprise à plusieurs moment du film, tout simplement reprise, seulement une musique faite pour un film, aussi prenante et belle soit elle, est faite pour un film et pas pour un autre, pas pour celui là en tout cas. Et d'une envie de rappeler l'ambiance du premier, on est face à une intention déplacé. Autre exemple, un des passages les plus jouissif peut-être de ce film est à l'honneur du Yakusa, personnage n'ayant que deux phrases dans le film, personnage se voulant mystérieux et intriguant, à l'image de Billy dans le premier. Et à l'image de Billy, il se sacrifie à la fin pour ses compagnons restants. Comparons. Alors que McTiernan fait dans la sobriété, Billy sort un couteau de chasse, se taillade le ventre et embrasse son amulette, pour ensuite regarder la mort en face, puis le plan revient sur le peu restant de la bande, des essoufflements, des respirations... Un cri. Des regards apeurés se croisent, Billy est mort. La, Antal décide de rendre hommage à Billy et à cette scène culte, enfin je pense, sauf qu'à la sobriété, il choisit les paillette et le m'as tu vu... Le Yakusa se met torse-poil, exhibant ses énormes tatouages et sort son katana. Il fait face au predator, et engage un combat de Kendo avec son ennemi... (!!!)... la scène dure 5 bonne minutes... Je n'en dis pas plus sur son déroulement et son issue. Juste que c'est bidon.

Bon qu'a-t-on dans ce film? Un huis clos ouvert. Un groupe qui n'a pas décidé d'être ensemble et qui se trouve obligé de coopérer face à son nouvel ennemi. Des tensions naissent donc entre les protagonistes qui n'ont en commun que le fait qu'il soient, à l'exception du médecin, tous des tueurs, des mercenaires, des guerriers, des mecs et une fille qui sur notre monde pourraient être considéré du commun comme des monstres. Et les voilà face à de nouveaux monstres. En fait j'ai eu l'impression de me trouver face à un nouveau des ces films dans la mouvance des Saw et autre Cube. Des personnes qui ne se connaissent pas découvre leur unique point commun pour essayer de faire face au nouveau danger. Ils sont capturés à leur insu pour être le gibier d'un jeu dont ils ne sont en rien les joueurs ni les maitres. Alors oui, il y a un effort de fait sur la psychologie des personnages, qui se veulent pour la plupart imprévisibles et "tordus"... Seulement non. On s'attend à tout ou presque, et on s'ennuie. Ça tombe à l'eau encore une fois. De l'équipe de mercenaire camarade du premier, tous différents mais tous potes de combat, équipe si attachante et charismatique, on se retrouve avec un groupe disparate à la psychologie calquée sur les thrillers et films d'horreur nouvelle génération, et... on perd tout!
Bon, je m'arrête là, en précisant que je n'ai été déçu qu'à moitié, une autre part de moi espérant dès le début tomber devant un film pourri qui ne ferait pas ombre au chef d'oeuvre de McTiernan, et elle par contre n'a pas de déception à essuyer.
A oui, un dernier truc, pour le dernier "boss", le dernier predator, le réalisateur a du vouloir innover et trouver un truc à lui pour la tête. Il a donc essayer de créer le "nouveau" predator. Ça change pas des masses, mais c'est pitoyable.

Predator chapitre 3 : PREDATORS DECEPTION.

dimanche 11 juillet 2010

vendredi 9 juillet 2010


THE EXPENDABLES


Bon je vais faire une rapide preview d'un film qui même si il ne tient pas toutes ses promesses, aura le mérite assez unique d'avoir été créé et d'exister.
Toute la génération (principalement masculine) des années 80, début 90 en rêvait. Des années ornées d'un cinéma d'action riche en testostérone, gros bras, phrases cultes et péripétie en tous genres. De ce cinéma, il était et reste quelques figures emblématiques, telle que Sylvester Stallone, Arnold Schwarzenegger, Bruce Willis, Jet Li...
Qui aurait osé avouer réellement envisager un film les réunissant tous ou la plupart?? Tous l'ont au moins un jour espéré, tout fan a un jour imaginé le tableau...
Nous voilà en 2010, ces années de turpitudes multiples semblaient passées depuis longtemps, mais alors qu'on assiste depuis quelques années au retour des "vieux" avec Die Hard 4 , Rocky Balboa, John Rambo, un homme, lui meme figure emblématique de ce cinéma et adulé par une certaine catégorie de fans avoué, a osé, aujourd'hui réaliser le rêve de toute une génération.
Stallone prend les choses en mains et réalise The Expendables... D'abord une rumeur à laquelle personne ne croyait, voici que le film dévoile ses bandes annonces...
Une bande de mercenaires à la solde du gouvernement, qui ne connaisse de loyauté qu'entre eux, réunissant des star comme Stallone lui même, Jason Statham, Jet Li, Dolph Lundgren, Mickey Rourke... et quelques autres... vont faire rouler leur muscles en braquant de gros flingues sur la gueule des méchants pour notre plus grand plaisir...
En fait perso, j'exulte...
Rien que ça, un passage de la bande annonce, assez court dans le film, réunissant SUR UN MEME PLAN STALLONE, SCHWARZY, ET WILLIS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Le rêve de millions de fans de par le monde...
Bon j'arrete et j'me calme pasque là je m'enflamme.
Le film est prévu pour le 18 Aout 2010... On se retrouve bientôt, une fois vu 3/4 fois...

dimanche 4 juillet 2010


PREDATORS



Bon, il serait temps que je fasse cette preview de Predators, prévu pour le 14 juillet.
Remake mais pas remake, revu, réinterprété, repris, un film qui essaie peutetre de se faire hommage au chef d'oeuvre de McTiernan avec Schwarzy, dont j'ai déjà parlé ici dans un article déjà presque vieux.
Predators, qui ajoute un "S" au titre de son modèle (Predator), se veux comme un hommage et une réinterprétation du mythe.
Voilà donc ce qu'il nous propose :
Une bande de durs à cuir se retrouve dans une foret, et on pour point commun d'être des tueurs, les pire tueurs de la planète même. Seulement, cette fois, ce n'est plus leur planète.
En fait, les créatures on capturé les pires tueurs terriens pour les amener sur leur planète et en faire leur jeu, leur gibier.
Produit par Rodriguez, ça nous promet son style de personnages habituels, avec une certaine part de délire Rodriguesque.
Bon, je m'arrête là et en parlerais plus après l'avoir vu 2 ou 3 fois.
Mais autant préciser une chose, Rodriguez s'attaque là à ce qui constitue une pierre angulaire de mon enfance, un mythe, Predator. Il n'y auras pas de demie mesure pour ce qui est de l'éventuel hommage. Soit bon, soit mauvais. Point. Ou bien, je le prendrais comme un film à part, complètement différent et sans rapport avec le premier.
Mais je dois bien avouer que Rodriguez a su me foutre l'eau à la bouche avec ses trailers, ses interviews tout ça... Il m'a fait peur aussi... M'enfin comme il le dis lui même dans sa première interview : "on ne pouvait pas rivaliser avec Schwarzenegger". A partir de cette prise de conscience, il a peut-être réussi a faire un truc potable.
On se retrouve une fois vu.

Le Super-héros (pas trop connu) du mois : Triathlon


Holà compañeros!

Pour reprendre une activité bloguistique estivale normale, j'ouvre sous vos yeux émerveillés et plein de paillettes, une série consacrée aux super-héros. Et en particulier ceux qu'on connait pas forcément.

Alors si autour de vous ça parle de comics et que vous y comprenez rien, si vous essayez de comprendre et que vous y arrivez pas ou simplement si vous êtes curieux, ces articles sont fait pour vous.

Donc en ouverture pour ce mois de Juillet: Triathlon.


Triathlon est un Super des éditions Marvel, intervenant dans l'u
nivers de Marvel Universe. Malgré le fait qu'il ne soit pas très connu, c'est un personnage très
intéressant et qui fait intervenir dans le comics, les thèmes du racisme et de la tolérance religieuse

De son vrai nom, Delroy Garrett, est un ancien champion olympique de sprint. Lorsqu'il est reconnu coupable d'usage de stéroïdes et destitué de ces titres, Delroy trouve un nouvelle voie en rejoignant la Triurne, un ''mouvement philosophique", qui ressemble plus à une secte, qui prêche l'accomplissement du potentiel de chacun. C'est grâce à l'enseignement de la Triurne que Delroy développe ces pouvoirs.
Les capacités physique de Delroy sont approximativement trois fois plus développée que la moyen des êtres humains, en particulier la force, la vitesse, l'agilité et les capacités sensorielles.

Il devient le super-héros Triathlon en même temps que le porte-parole de la Triurne.
Triathlon aidera les Vengeurs à combattre Moses Magnum. A l'issue du combat le leader de la Triurne, Jonathan Tremont, accuse injustement les Vengeurs de racisme et d'intolérance religieuse, créant des tensions entre les deux factions.
Malgré cela les Vengeurs recrutent Triathlon, premièrement parce que c'est un héros avec de vrais super capacités et deuxièmement parce qu'il fait partie d'une minorité visible et que cela permettra au Vengeurs de dissiper les accusations de Tremont. son intégration un peu tendu au début devient de plus en plus évidente au cours du temps.

Triathlon se distinguera en combattant une menace cosmique appelé le Triple-Evil au côté de Tremont et des Vengeurs. Tremont disparaitra dans ce combat et Triahtlon quittera les Vengeurs pour reconstituer la Triurne privée de son chef spirituel, néanmoins il reviendra les aider plusieurs fois car Vengeur un jour, Vengeur toujours.



Voilà, j'aime bien Triathlon c'est un héros plutôt cool et il correspondait plutôt bien au Super qu'on devrait mieux connaitre.

Je pense à Deadpool, pour le mois prochain.

Source: Marvel.com, les publications Marvel de ces vingts dernières années.